DERNIERS APPELS À L’ACTION
Ensemble, brisons le silence
Une moyenne de 12 féminicides par année au Québec
La violence conjugale et familiale a augmenté au Québec et partout où la crise sanitaire a imposé un confinement. Aujourd’hui, nous voyons concrètement le contrecoup des mesures rendues nécessaires en raison de la
Burundi. Harcèlement judiciaire d’activistes
Condamnés à perpétuité pour avoir été à contre-courant de la dictature burundaise, douze défenseurs de droits humains se sont vus aussi obligés à demeurer en exil. Petite histoire d’une crise qui s’étire dans
Gabon. Derrière les barreaux pour des idées politiques
Bertrand Zibi Abeghe, prisonnier politique au Gabon depuis 2016, a fait parvenir une lettre ouverte à l’archevêque de Libreville, Mgr Iba-BÂ. Tout en le félicitant pour sa nomination l’an dernier à la tête
Aider les victimes :
l’atelier Guérison des mémoires
l’atelier Guérison des mémoires
VOUS ÊTES LE CHANGEMENT
Notre cible : Abolir la torture et les peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants
Nous nous basons sur la définition de l’article 1 de la Convention contre la torture des Nations Unies qui comprend trois éléments cumulatifs :
1. Infliger intentionnellement des souffrances physiques ou mentales aiguës,
2. Par un agent de la fonction publique, directement ou indirectement impliqué, ou toute autre personne agissant à titre officiel,
3. Dans un but précis, par exemple pour intimider ou faire pression, terrifier, discriminer, ou pour tout autre motif.
Pour les peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, c’est l’article 16 de la Convention qui nous guide : « [les] actes constitutifs de peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants qui ne sont pas des actes de torture telle qu’elle est définie à l’article premier lorsque de tels actes sont commis par un agent de la fonction publique ou toute autre personne agissant à titre officiel, ou à son instigation ou avec son consentement exprès ou tacite ».
Nous demandons aussi au Canada de ratifier le Protocole facultatif se rapportant à la Convention contre la torture (OPCAT).
Nous défendons les droits : des défenseurs des droits humains, des prisonniers d’opinions, des détenus, des hospitalisés, des personnes en arrestation, des migrants détenus, des personnes vivant avec un traumatisme suite à de la torture subie, des personnes autochtones, etc.
NOTRE VISION
Être un phare dans la nuit des violations des droits humains